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LE LIVRE DORT

Écoutons-le rêver...

Je ne veux pas éteindre

"C’est une pièce extraordinaire que nous livre aujourd’hui la Compagnie Trois Quatorze à partir de l’écriture de Charlotte Roy qui mêle la douceur à l’humour décalé, un vocabulaire un brin désuet et une constante élégance… presque trop belle pour décrire l’expérience fracassante d’un accident de la route en plein hiver sur une route glacée, générant le drame de la disparition d’une des passagères, morte qui vient hanter les rêves de la survivante. Mais la barbarie de l’instant initial est constamment mise à distance par la poésie singulière des trouvailles scéniques de Charlotte Roy, à la fois très simples et très sophistiquées…

Le décor de fils sur châssis rappelle les « Pénétrables » de Jésus Raphael Soto, mais avec la douceur de la laine en plus… Laine qui, elle, évoque plutôt l’univers féminin du fil qui sert à tisser des liens, à réparer, à rapiécer les âmes perdues et les coeurs abîmés par la puissance dévastatrice du deuil : tour à tour pansements, spaghettis qui nourrissent, drap ou linceul qui protège et enveloppe mais peut aussi séparer… Les deux comédiennes, magnifiques de justesse et qui oscillent entre exubérance et retenue, nous dévoilent des trésors de jeu subtil et audacieux et sollicitent nos émotions à partir du registre sonore inégalable des violons jouant de concert. Une magnifique réussite." Christine

"Beaucoup d'émotions dans cette pièce dramatique onirique qui s'achève par une musique salvatrice..." Paul

 

"Tour à tour vulnérables, flamboyantes, drôles ou aériennes, le duo de comédiennes formé par Emilie Launay-Bobillot et Vinciane Amilhon vibre de concert sur le texte onirique et poétique de Charlotte Roy. On plonge dans cet univers avec délice." Hélène

"Un sujet sensible traité avec intelligence et subtilité qui vous emmène dans les profondeurs de l’âme où s’emmêlent conscient et inconscient. Mise en scène avec force et légèreté pour une interprétation brillante." Alain

"Bravo Charlotte pour Je ne veux pas éteindre ! Bravo aussi à toute l'équipe!

Rythme, propos, scénographie, jeux de lumières et autres ingrédients de régie ont tenu la promesse d'un résultat alliant ton originalité artistique et ton grand professionnalisme.

Je ne veux pas éteindre est à savourer de part en part, de fluidités en eaux troubles, d'imaginaire en plein rêve éveillé.

L'ombre et la lumière s'y partagent le plateau et nous offre le choix du non choix qui s'impose avec délicatesse et fermeté: voyager au présent, ensemble, quoi qu'il arrive.  Merci!" Delphine

"Je voulais vous féliciter pour la qualité et l'humanité de votre représentation. Ces émotions que vous éveillez, que vous transmettez, , cette douce chaleur, cette lumière dans la nuit, tout ça m'avait drôlement manqué. Merci à vous d'exister et de faire ce que vous faites." Emmanuel

 

"J'ai été agréablement surprise par la pièce. J'ai été tres touchée par le coté a la fois autobiographique et onirique, poétique, parfois philosophique.

C'était aussi tres inventif, ce décor mouvant. Et les comédiennes superbes, claires dans leurs changements de personnages clairs et justes je trouve. Bravo!" Morgane

"Je me suis tout de suite sentie bien dès les 1ers mots de la pièce. On se laisse porter facilement par les intonations, les enchaînements, le rythme des phrases, des mots et des voix !

L'écriture est vraiment sensible et toute à la fois directe ! J'aime ces contrastes !

Les 2 comédiennes, sincères et pleines d'élans, nous emportent dans leur monde ; mêlant et entremêlant (dans un dédale de fils comme cadre de mise en scène) les souvenirs, les douleurs, et les joies d'un duo de musiciennes qui a été et qui n'est plus ! 

Emilie et Vinciane sont très talentueuses et elles transmettent généreusement toute leur énergie !
L'humour et la légereté ne sont jamais loin non plus, pour moi c'est ça la "patte" de Charlotte Roy ! Elle tisse un tableau dramatique mais toujours onirique et un brin caustique !

Enfin, ce décors de fils suspendus sur un cadre au dessus de la scène est tout à fait original et permet à la fois toutes sortes de possibilités de mouvements fluides ou enchevêtrés tout comme les sentiments et les mots des personnages ! On s'y perd avec elles, on y étouffe presque un peu aussi...comment se sortir du labyrinthe ? L'issue est la force de cette pièce ! J'ai beaucoup beaucoup aimé en fait !! Encore Bravo !"

Sigrid

"Beaucoup d’émotion dans cette pièce interprétée par 2 comédiennes en osmose avec le texte. J’ai ri... j’ai pleuré..." Véronique

"Une immersion imagée et intime dans un esprit en deuil. Des actrices convaincantes dans leurs jeu des multiples personnalités. Un décor simplement inventif et efficacement créatif." Daniel

"Vraiment j'ai été très touchée, passant par multiples émotions, subtilement.

la mise en scène est très réussie, la scénographie aussi, le texte, le jeu des comédiennes, et la lumière..

je crois que si on enlevait un de ces éléments on perdrait le fil de l'histoire, aussi onirique soit elle, et c'est ce subtil accordage entre tous les éléments qui tendent un fil parmi tous les fils.

Alors vraiment très beau travail."

Claire Lise

"J'ai adoré cette pièce.

Ça m'a remué et réconforté en même temps.

Merveilleuse et touchante expression des deux actrices et une scénographie pleine de possibilités de projection en fonction des scènes." Hannah

"Beaucoup d’émotions, accord très précis/ interessant du décor dans la mise en scène, texte ciselé

 

Les actrices nous entrainent dans un cheminement onirique, où se mêlent réalité, rêves et cauchemars.

Le traumatisme de la perte, la douleur/difficulté du nécessaire renoncement et au bout du chemin la possible reconstruction comme une renaissance.

Cette pièce atteint au profond de l’âme de ceux qui veulent bien se laisser emporter. Elle fait tant écho aux expériences vécues et prend sans doute un caractère tout particulier dans le contexte actuel.

On s’y plonge, on est ému, on sourit et on ose même rire, bien que les larmes ne soient pas bien loin et coulent sur la joue." Isabelle

"Ce spectacle onirique, en mêlant des passages réalistes et des parts de rêves retranscrits, revêt une dimension tragi-comique. Les alternances réciproques rêve/réalité apportent un côté comique qui tend à rendre le sujet abordé plus léger et accessible à un plus large public. Il pourrait s'avérer toutefois utile d'expliciter au préalable succinctement ce mode d'écriture dans la présentation initiale du spectacle vis à vis des spectateurs afin de leur permettre d'en profiter pleinement. Il ne faut effectivement pas y chercher des explications ou du sous-texte, l'interprétation des rêves étant parfois sujet à caution et nécessitant des compétences particulières, mais savourer avec légèreté l'esthétique de la mise en scène portée par un décor bien choisi et utilement adapté au jeu des comédiennes. Celles-ci nous font également profiter de leurs talents de musiciennes afin de parfaire l'ambiance du spectacle. Il serait intéressant, dans l'évolution qui pourrait être proposée de ce spectacle, de rechercher plus de liens entre les moments de jeu et les moments de musique (peut être en insistant sur les moments où l'une est au violon pendant que l'autre joue sur le plateau, le violon pouvant même être détourné de son rôle), ainsi que de rechercher plus de liens et de complémentarité entre les morceaux choisis et les rêves que ceux-ci illustrent suivant les moments du spectacle où ceux-ci seraient proposés." Maxime

Les Ruines jupitériennes

C’est un spectacle très riche, très dense.

Il y a beaucoup de poésie.

Un énorme bravo à l'ensemble de la troupe plougasniste ! On a beaucoup apprécié ce spectacle et particulièrement la scénographie, le jeu de la matière et des couleurs, la poésie sur fond de sujets existentiels. Une très belle écriture de Charlotte Roy également, et d'excellentes prestations des comédiens.

C’est le théâtre dans ce qu’il a de plus classique et moderne. C’est comme une leçon de théâtre.

Tout se marie, c’est bien rythmé.

C’est cultivé sans être prétentieux.

La musique est très belle, quelle partition !

Ça a de la gueule cette proposition scénographique.

Un super casting, les comédiens sont très bien.

C’est un format inhabituel, c’est onirique, épique même.

J’étais très émue à la fin, j’en avais les larmes aux yeux.

Les muses étaient top, elles m'ont trop fait rire, ça m'a fait penser au dessin animé "Hercule" de Walt Disney. Ca m'a fait délirer. C'est comme un vrai chœur de tragédie antique mais en rigolo.

Lu assure, il est vraiment super à l'aise, il est incroyable à regarder. C’est lui la colonne vertébrale de la pièce.

Le chêne, quelle voix ! La palme d'or à la blague du "Vous êtes Américain ?"

L'humour était vraiment chouette, bien trouvé.

Au début on se demande dans quel monde on est parachuté, mais après on s'y fait et c'est très distrayant.

L'histoire est intéressante, ça nous a plu l'histoire de la femme rebelle qui quitte son village et qui se retrouve à la fin à faire des choses qu'elle ne soupçonnait pas.

C'est La et Le qui tiennent le rythme.

 

C'est pas mal le mélange chanson danse et texte.

La fin est ouverte sur l'amour qui peut naître ou pas entre Lu et La, mais il y a une vraie empathie de la part de Lu.

 

Le comédien qui fait l’oracle est super. Il a quel âge ?

 

J'aime les idées derrière la pièce, le thème du désir par exemple, même si ça reste flou, ou celui de la hiérarchie spirituelle avec le grand pommier, ou l'idée de l'origine de la recherche spirituelle de l'humain.

 

On sent une vraie camaraderie entre vous.

 

Le projet était ambitieux et c'est bien d'avoir relevé le défi : rassembler 13 personnes sur scène ! 

 

Beau spectacle, fantasmagorique. J’ai pas tout compris, mais j’ai pris grand plaisir.

 

Le vieux punk à la fin, c’est incroyable, quelle présence !

Le texte, moi perso j'adore. Le fond et la forme. J'aime ce dont il parle et comment il en parle. Je trouve ça beau, poétique, philosophique et réaliste à la fois bien qu'onirique.. Et en fait, me reviennent Pierre-Albert Birot, Beckett, le Songe d'une nuit d'été de Shakespeare, Platon, Gatti, le théâtre du peuple. Moi, ce texte me fait du bien en fait.

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